Cet article porte sur les écrits de voyage de Barthes et sur sa relation intime et sexuelle avec l’Afrique du Nord. Étudier le traitement littéraire de cette relation conduit à voir comment elle s’inscrit dans les espaces complexes que Barthes habitait comme écrivain/universitaire et comme voyageur. De nombreux passages révèlent sa fascination pour le monde arabe et expriment son désir de se trouver dans un monde différent de son univers familier.
On commencera par un bref survol de quelques textes importants relevant d’un « détour » vers/par l’Asie. Incidents (2009), L’Empire des signes (1970) et Carnets du voyage en Chine (2009) inscrivent l’écriture de Barthes dans le genre du voyage homoérotique. L’attitude d’un sujet masculin, lors de voyages en Extrême-Orient, semble au premier abord contraster fortement avec la dialectique caractéristique des notations en Afrique du Nord. Si les textes sur la Chine et le Japon sont sans doute moins érotiques à première vue, les descriptions du corps oriental témoignent cependant d’une certaine familiarité, assez frappante, avec les observations effectuées au Maroc et à Paris. Chacune de ces œuvres, à des degrés divers, se caractérise par une série de détours servant à masquer la dimension érotique de la narration.
Sous le titre général d’Incidents, François Wahl fait paraître en 1987 un recueil de textes regroupant des inédits comme « Incidents » et « Soirées de Paris », et des articles comme « La Lumière de Sud-Ouest », paru en 1977 dans L’Humanité, et « Au Palace ce soir », paru dans Vogue-Hommes en 1978. Dans le premier, Barthes se tourne vers son enfance passée dans les pays de l’Adour et à Bayonne. Dans le second, il fait part de son attirance pour Le Palace, un espace « post-Proustien » qui lui permet, confesse-t-il, d’assumer une identité alternative : « Au Palace, les lieux familiers sont multipliés : salon pour bavarder, bars pour accueillir, se reposer entre deux danses, belvédère pour plonger, au-delà de l’échelonnement des balustrades, sur l’immense spectacle de la danse des lumières et des corps. » Et il ajoute : « Au Palace, je ne suis pas obligé de danser pour nouer avec ce lieu à l’écart[1]. » Ce sentiment de libération, observable dans ces deux passages, est comparable à la jouissance inscrite dans les écrits de voyage au Japon et en Afrique du Nord. Le besoin de s’évader, d’adopter une autre forme d’existence, a hanté Barthes tout au long de sa vie. Même s’ils ont paru à titre posthume, l’auteur hésitant à les livrer au public, « Incidents » et « Soirées de Paris » ne sont pas des textes mineurs. Barthes avait clairement l’intention de les inclure dans Vita nova, le roman dont il n’a laissé que des esquisses.
« Incidents » et « Soirées de Paris » déclinent divers motifs et modalités manifestant une quête sexuelle, à la fois en France et à l’étranger. La représentation homoérotique des garçons marocains dialogue avec les errances de Barthes parcourant les espaces queer de la capitale française. Bien que le narrateur, voyageant et résidant au Maroc, ne semble pas rechercher exclusivement l’épanouissement sexuel, le « dragueur » reste une figure omniprésente dans « Incidents ». Cette même drague occupe une position centrale dans « Soirées de Paris », qui raconte une recherche sans fin de rencontres érotiques.
Dans son œuvre, Barthes revient régulièrement sur la drague, dont il donne un aperçu critique dans un entretien de 1975 :
En en parlant [de la drague], j’arriverai peut-être à le définir. C’est un thème important pour moi. La drague, c’est le voyage du désir. C’est le corps qui est en état d’alerte, de recherche par rapport à son propre désir. Et puis, la drague implique une temporalité qui met l’accent sur la rencontre, sur la “première fois.” Comme si la première rencontre possédait un privilège inouï : celui d’être retirée hors de toute répétition[2].
Pour Barthes, parce que les deux réalités appellent le déplacement et la nouveauté, drague et voyage vont de pair : « L’acte de draguer est un acte qui se répète, mais son contenu est une primeur absolue. » Le tourisme homoérotique ne se limite pas aux voyages en dehors de l’Hexagone, comme « Soirées de Paris » le démontre amplement. Il n’est pas nécessaire de quitter son chez-soi pour participer au tourisme sexuel. Que ce soit chez lui, à Paris, ou dans sa « patrie » d’adoption au Maroc, l’écrivain navigue dans les espaces qu’il habite à la manière d’un touriste à la recherche de nouvelles expériences afin d’échapper au banal.
Les topos sexuels sont tantôt explicites, tantôt masqués dans les récits de voyage de Barthes. Comme le dit Claude Coste, « C’est au lecteur de déplier les informations qui lui sont données[3]. » Déplier s’avère être le moyen le plus efficace pour découvrir la dimension queer des différentes expériences relatées dans « Incidents » ou « Soirées de Paris », les unes très évidentes, les autres plus indirectes, les unes heureuses, les autres plus malheureuses. Y aurait-il un lien à établir entre le degré de clarté dans la notation et le degré d’hédonisme dans la relation ? C’est bien au lecteur de « déplier les informations qui lui sont données »… À propos de l’herméneutique, Barthes écrit dans son Michelet :
Il n’est donc pas excessif de parler d’une véritable herméneutique du texte micheletiste. On ne peut lire Michelet linéairement, il faut restituer au texte ses assises et son réseau de thèmes : le discours de Michelet est un véritable cryptogramme[4].
Cette injonction vaut également pour « Incidents ». La dimension homoérotique est inscrite de manière poétique dans des scènes de la vie quotidienne, avec un accent particulier sur le corps masculin. Un exemple marquant se retrouve dans un passage où le narrateur évoque un garçon qu’il observe avec une calme ferveur : « Un garçon fin, presque doux, aux mains déjà un peu épaisses, a soudain, rapide comme un déclic, le geste qui dit le petit mec : faire sauter la cendre de cigarette d’un revers de l’ongle[5]. » (956) Au lecteur de déchiffrer les indices suggérant le regard érotique du touriste, ici centré sur un garçon qu’il trouve sensuellement attirant.
Dans Roland Barthes par Roland Barthes (1975), la réflexion sur la vie privée revêt une importance toute particulière :
C’est en effet lorsque je divulgue mon privé que je m’expose le plus : non par risque du « scandale » mais parce que, alors, je présente mon imaginaire dans sa consistance la plus forte ; et l’imaginaire, c’est cela même sur quoi les autres on barre : ce qui n’est protégé par aucun renversement, aucun déboîtement. Cependant le “privé” change selon la doxa à laquelle on s’adresse : si c’est une doxa de droite (bourgeoise ou petite-bourgeoise : institutions, lois, presse), c’est le privé sexuel qui expose le plus[6].
L’auteur reconnaît ici sa propre vulnérabilité, une condition qui refait souvent surface tout au long de son écriture du voyage. La question se pose donc : comment Barthes envisage-t-il sa vie privée ? Pour le voyageur qui déclare « Je suis moins exposé en déclarant une perversion qu’en énonçant un goût[7] », il n’existe pas de honte dans le désir sexuel, y compris dans les comportements risquant d’être assimilés à de la perversion. Il importe en outre de préciser que les concepts de discrétion et de honte ne sont pas nécessairement interchangeables dans l’écriture de Barthes.
Le Maroc donne lieu principalement à des représentations euphoriques du plaisir sexuel. Par comparaison avec « Soirées de Paris », les relations sexuelles évoquées dans « Incidents » apparaissent hautement agréables, même si un tel bonheur n’est jamais décrit ou commenté. Le contraste est d’autant plus frappant avec l’écriture des escapades parisiennes, marquée par la tristesse, discrète ou aiguë. Quand Barthes paie d’avance un gigolo qui ne viendra pas au rendez-vous, il revendique une forme d’érotisme mêlé de résignation :
Je me suis demandé si j’avais eu vraiment tort (tout le monde s’exclamerait : donner à l’avance de l’argent à un gigolo !), et je me suis dit que, puisque, au fond je n’avais pas tellement envie de lui (ni même de coucher), le résultat était le même : couché ou non, à huit heures je me serais retrouvé au même point de ma vie ; et, comme le simple contact des yeux, de la parole, m’érotise, c’est cette jouissance que j’ai payée[8]).
Le narrateur n’est pas attiré par le gigolo, pas plus qu’il ne croit que la rencontre manquée aurait pu donner lieu à une quelconque forme de réel plaisir. Il se résigne à une existence mélancolique, incapable d’échapper aux limites de son imaginaire. Mais c’est cette mélancolie qui devient active en servant de matrice à son écriture.
L’extrait suivant, tiré d’« Incidents » manifeste une approche plus hédoniste : « Je sens que je vais être amoureux de toi. C’est ennuyeux. Comment faire ? – Donne-moi ton adresse[9]. » À la mélancolie absolue, est substitué un sentiment de bonheur au moins potentiel, qui ouvre sur une double ouverture sexuelle et amoureuse. Loin d’une union née d’un échange monétaire, le voyageur accède au Maroc à une forme de connivence, de camaraderie qu’il est incapable de vivre à Paris. Minimaliste, le fragment ne mentionne aucune suite décevante, se contentant de fixer ce moment de complicité entre deux hommes que le désir met sur le même plan. De plus, la brièveté du segment, qui se termine par « Donne-moi ton adresse », peut donner à penser que le « touriste/résident » a poursuivi la rencontre, même si Barthes reste évasif sur la question. Le Maroc d’« Incidents » est synonyme de disponibilité pour des rencontres intimes, combinée à une absence de préjugés envers les hommes âgés. L’Afrique du Nord représente ainsi un territoire édénique et utopique où s’épanouissent le désir et le plaisir. Cette dimension du texte se fait encore plus frappante si on la compare à la dureté de la vie sexuelle du narrateur (ou son absence), dans « Soirées de Paris », écrit dix ans plus tard.
Le langage érotique dans le texte sur le Maroc oscille entre des références ambiguës et occultées au désir homosexuel et des allusions directes à des opportunités sexuelles, qui restent cependant non décrites. Mais Barthes n’est assurément pas un touriste « typique ». Ses notes, notamment celles qui concernent la sexualité, reflètent souvent un intérêt pour la linguistique et la sémiotique, ce qui produit une série d’effets de « distanciation ». Ce procédé caractérise la subjectivité du narrateur, lui permettant de maintenir une neutralité de ton souvent marquée par l’ironie… « Incidents » et « Soirées de Paris » soulignent la capacité de l’écrivain à manipuler les mots et leur signification, notamment par son traitement du discours érotique voilé.
Incidents commence par l’inscription « Au Maroc, naguère ». Le mot « naguère » a un double fonctionnement en français, que Barthes utilise à son avantage. « Naguère » peut signifier « Il y a peu de temps. Récemment. » Le terme a cependant une connotation autre : « Autrefois ». Pour Ralph Heyndels, qui examine la signification de l’inscription du texte :
L’adverbe est souvent utilisé de façon abusive dans le sens de jadis alors qu’il désigne, au contraire, un passé récent. L’effet connotatif tend à recouvrir la dénotation correcte en renvoyant à l’éloignement temporel de ce qui est définitivement révolu, impression renforcée par les points de suspension qui ouvrent un écart (à vrai dire : incommensurable) à l’égard ce qui n’est plus – que ce soit pour le sujet de l’écriture, le lecteur des fragments que celle-ci indexe, ou par rapport à l’objet désigné : « Ce pays », dont cependant l’usage de la langue française qui y circule produit un certain effet textuel de proximité[10].
L’écrivain continue à vivre par et à travers ses expériences marocaines, seule source de plaisir à sa disposition après son retour en France, mais source de plaisir rejeté dans un passé lointain, indéfinissable. Grâce à l’ambiguïté qui caractérise l’épigraphe, le lecteur entre dans le monde du voyageur, monde dans lequel la temporalité est remplacée par une série de signes et de symboles où se dit, grâce au souvenir et à la littérature, la présence de ce qui n’est plus.
Dans le fragment initial d’« Incidents », qui est comme un parallèle au portrait du cuisinier japonais dans L’Empire des signes, l’évocation d’un employé de restaurant fait état d’un érotisme implicite du corps masculin arabe :
Le barman, à une gare, est descendu cueillir une fleur de géranium rouge et l’a mise dans un verre d’eau, entre la machine à café et le débarras assez crasseux où il laisse traîner tasses et serviettes sales[11].
La place de ce fragment met en évidence la tonalité érotique du regard. L’auteur aurait pu commencer son texte avec un certain nombre de scènes non érotiques. Au lieu de cela, il confronte immédiatement son lecteur au corps masculin arabe, dans le contexte d’une observation qui semble, au premier abord, dissociée de toute sensualité. La scène de la gare vaut moins comme notation d’un événement fortuit, que comme signe de la sexualité du touriste. À partir de ce premier incident donné comme une clé de lecture, l’identité queer du narrateur est à déchiffrer à partir des indices textuels intégrés dans chaque fragment.
Tout au long d’« Incidents », le narrateur décrit ses amants en utilisant des adjectifs et des expressions comme « fin » « voluptueux » et « beaux yeux marocains » tous révélateurs de son attirance pour le corps masculin arabe. Ces mots, en fait assez communs et privés de lyrisme poétique, ne sont pas érotiques lorsqu’ils sont considérés en dehors du contexte. Dans le passage suivant, la « délicatesse » du garçon marocain érotise la narration :
Un garçon fin, presque doux, aux mains déjà un peu épaisses, a soudain, rapide comme un déclic, le geste qui dit le petit mec : faire sauter la cendre de cigarette d’un revers de l’ongle[12].
L’attirance du touriste pour le garçon, qu’il décrit comme « presque doux, ses mains déjà un peu tendues », devient érotisée par l’inférence de sa virilité, indiquée par le geste du « petit mec ». Une telle délicatesse est littéralement interrompue quand le narrateur réalise qu’il est en fait un petit dur, ce qui produit une image très érotique. Le garçon représente ainsi l’antithèse de la passivité du narrateur, éveillant son désir.
Incidents est l’un des textes les plus subjectifs de Barthes. Si le pronom « je » n’apparaît pas, l’auteur participe directement à la narration de plusieurs autres façons, notamment par l’utilisation de signes grammaticaux autoréflexifs. Cette construction linguistique lui permet d’entretenir une certaine distance par rapport à la narration tout en en faisant partie. Le « je » absent/présent d’« Incidents » se pose donc comme un symbole trompeur de l’identité de l’auteur. Dans Le Grain de la voix (1981), Barthes traite de la fonction linguistique du pronom « je » à propos des Fragments d’un discours amoureux :
celui qui dit « je » dans le livre est le je de l’écriture. C’est vraiment tout ce qu’on peut en dire. Naturellement, sur ce point-là, on peut m’entraîner à dire qu’il s’agit de moi. Je fais alors une réponse de Normand : c’est moi et ce n’est pas moi[13].
Une telle affirmation permet de mieux comprendre la démarche de Barthes dans Incidents. La relation entre l’auteur et le personnage est fictive, ce qui crée un entre-deux qui sépare la voix de l’auteur de l’identité du narrateur. De plus, quand Barthes qualifie sa conception du discours amoureux de « vision essentiellement fragmentée, discontinue, papillonnante », cette approche peut s’appliquer également à l’engagement érotique du touriste en voyage au Maroc. En d’autres termes, l’hédonisme des incidents marocains, qui se situent « naguère », dépend largement de la reconstruction littéraire de la réalité. En donnant à son texte une dimension discrètement fictionnelle, en prenant du recul avec la simple notation biographique, Barthes transforme l’expérience en souvenir et le souvenir en littérature.
Parce que, comme tout écrivain, il réinvente la réalité, Barthes construit un univers lucide (le Maroc apparait avec sa pauvreté), mais toujours heureux en ce qui concerne la sexualité. Quand les « Soirées de Paris » s’écrivaient à partir de la mélancolie d’un homme en déshérence, les « Incidents » trouve leur énergie dans l’hédonisme d’un touriste qui retrouve « là-bas » le sentiment de liberté ressenti dans un lieu marginal comme le « Palace ». Se démarquant encore davantage des « Soirées de Paris » où domine la figure du gigolo, la rencontre dans « Incidents » relève toujours de la réciprocité. Dans la scène suivante, la relation du touriste sexuel avec un garçon marocain est spontanée, conduite par le seul désir :
Visite d’un garçon inconnu, envoyé par son copain : « Qu’est-ce que tu veux ? Pourquoi viens-tu ? – C’est la nature ! » (Autre, une autre fois : « C’est la tendresse[14] ».
Très proches du lexique de Barthes, les assertions des garçons s’abstiennent d’énoncer des références explicites au sexe, manifestant à la fois une forme de pudeur et la revendication d’une pratique qui relève de l’instinct (la « nature ») et de l’affect (la « tendresse »). Même usage du sous-entendu et de la réciprocité du désir quand un petit instituteur de Marrakech dit qu’il fera « tout » ce que le narrateur veut, ce qui, pour le touriste-écrivain, est interprété comme un message codé : « Je vous niquerai ».
Mais le plaisir mutuel est-il tout ce que ces garçons recherchent ? Barthes a beau construire un univers hédoniste, qui vaut comme un fantasme de sexualité heureuse, le lecteur ne peut s’empêcher de revenir à la réalité socio-économique du Maroc, à ce tourisme sexuel qui se développe dans un monde marqué par la pauvreté, voire la misère. Dans Bêtise de Barthes (2011), Claude Coste examine le thème de la prostitution et déclare que « De Gide à Barthes, la rédaction de ces rencontres sexuelles répond à des objections implicites qui tournent toutes autour de l’argent et de la prostitution[15]. » Comme Coste le note à juste titre, l’écriture de Barthes est exempte de références à la marchandisation du sexe. La rencontre avec « le petit instituteur » se situe en dehors de toute vénalité : « Il s’agit certes, d’un petit instituteur, mais il faut bien comprendre que le personnage bénéficie d’un traitement décent et d’une véritable position sociale. » L’instituteur de Marrakech se situe ainsi à l’opposé des arnaqueurs que l’écrivain décrira plus tard dans les « Soirées de Paris ». Finalement, qui drague qui au Maroc et pour quelles raisons ? Si les « Incidents » marocains, malgré le recours trompeur à la simple notation, se relèvent comme une construction textuelle qui vaut comme une antithèse aux « Soirées de Paris », le référent ne réussit pas à se faire totalement oublier. Bien plus, la prostitution si savamment évacuée ne demeure-t-elle pas malgré tout dans le texte – visible, mais voilée par la sémiotique de la dialectique barthienne ? Selon Coste, « Les signes extérieurs de la pauvreté émaillent tous ces fragments et rappellent indirectement que la prostitution se tient à l’arrière-plan, comme une éventualité ou comme un non-dit[16]. »
Notes
- Barthes, Roland, Incidents, Paris, Éditions du Seuil, 1987, p. 66-68. ↑
- Barthes, Roland, Œuvres Complètes, Vol. IV, Paris, Éditions du Seuil, 2002, p. 873. ↑
- Coste, Claude, Bêtise de Barthes. Paris, Klincksieck, 2011, p. 231-232. ↑
- Barthes, Roland, Michelet par lui-même, Paris, Éditions du Seuil, 1988, p. 182. ↑
- Barthes Roland, Œuvres complètes, Vol. V, Paris, Éditions du Seuil, 2002, p. 956. ↑
- Barthes, Roland, Œuvres Complètes, Vol. IV, Paris, Éditions du Seuil, 2002, p. 659. ↑
- Barthes, Roland, Œuvres Complètes, Vol. V, Paris, Éditions du Seuil, 2002, p. 659. ↑
- Barthes, Roland, Œuvres Complètes, Vol. V, Paris, Éditions du Seuil, 2002, p. 983. ↑
- Ibidem, p. 965. ↑
- Heyndels, Ralph, “Au Maroc, naguère : “Ce pays” : où comment (ne pas) lire Incidents. Roland Barthes au Maroc, Meknès, Publications de l’Université Moulay Ismaïl, 2013, p. 1. ↑
- Barthes, Roland, Œuvres Complètes, Vol. V, Paris, Éditions du Seuil, 2002, p. 955. ↑
- Ibidem, p. 956. ↑
- Barthes, Roland, Le grain de la voix, Paris, Éditions du Seuil, 1981, p. 267. ↑
- Barthes, Roland, Œuvres Complètes, Vol. V, Paris, Éditions du Seuil, 2002, p. 962. ↑
- Coste, Claude, Bêtise de Barthes, Paris, Klincksieck, 2011, p. 231-232. ↑
- Idem, p. 232. ↑